jeudi 4 janvier 2007

Une bibliothèque pas si rose ? : Quinze millions d’ouvrages en ligne !

1- Notice Bibliographique
Titre de l’article: Une bibliothèque pas si rose ? : Quinze millions d’ouvrages en ligne !
Auteur de l’article: Philippe Gavi (avec Judith Sibony)
Référence de la publication: Nouvel Observateur, 19 mai 2005
Sujet de l’article: Mettre en ligne du patrimoine littérature mondial de Google.
Mots-clés: Google, Europe, bibliothèque, France
Référence: http://www.bnf.fr/pages/dernmin/pdf/articles/19mai2005.pdf

2- Résumé
L’article « Une bibliothèque pas si rose ? » focalise sur le fameux moteur de recherche « Google » et la mise en ligne du patrimoine littéraire mondial. Mais en France on est contre cette mise en ligne.

Google est le leader mondial dans les moteurs de recherches. Il a été crée par Larry Page et Sergey Brin, deux ex-étudiants d’Oxford. En 1998, ils ont voulu faire des travaux de numérisation avec les bibliothèques de Stanford, Harvard, du Michigan aux Etats-Unis, d’Oxford en Angleterre et de la New York Public Library. 15 millions d’ouvrages de plus de 70 ans on été concernées par cette opération de numérisation. Leur rêve été de mettre en ligne le patrimoine littéraire mondial. En janvier 2005 ils ont réalisé un nouveau pas pour concrétiser leur rêve, c’est-à-dire ils ont scannés 50 000 pages par jour en mode texte. Cette idée de la mis en ligne le patrimoine littéraire mondial est observée avec méfiance en France en ce qui concerne une éventuelle favorisation d’une culture (culture anglophone) en détriment une autre (culture francophone). La France est alliés ont lancé un autre programme autour de la BNF pour contrer Google en annonçant qu’il sont contre un moteur de recherche unique ou américain mais pour un programme européen de la numérisation sans l’aspect commerciale. Google contre attaque on faisant un démentis à propos des accusation faite contre lui « Nous n’avons nullement l’intention d’imposer une culture plutôt qu’une autre, notre bute est seulement d’offrir un accès à l’information…». Le président de la New York Public Library souhaite de bonne chance aux Européens et annonce que plus il y aura de bibliothèques numériques, mieux ce sera et essaye d’argumenter les bonnes intentions de Google en annonçant que les bibliothèques américaines ne sont pas comme les bibliothèques européens, par exemple seulement 50% des fonds de la New York Public Library sont dans la langue anglaise. Puis à la bibliothèque de Harvard université les premiers ouvrages numérisés étaient majoritairement les ouvrages dans la langue Française, Italienne, Allemande et Espagnols.

3- Commentaire
Je trouve qu’il ne faut pas voir des préjugés contre tous ce qui vient des autres cultures et si on fait des critiques il faut qu’ils soient objectives. Le faite que Google est américain à mon avis il n’a pas essayé de favoriser la culture anglo-saxonne. Au contraire je pense que ce moteur de recherche puissant à participer au rayonnement des cultures et surtout celles difficilement accessibles. Et cette expérience de réussite a incitée plusieurs autres moteurs de recherche d’apparaître.

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